J'ai eu l'occasion, cette semaine de rencontrer des gens formidables.
A l'occasion d'une formation d'une semaine en internat, le cloitrement jouant, des liens se sont formés et je peux vous l'affirmer : Nous ne sommes pas seuls dans l'univers !!!!
Ces gens sont tous formidables, tous différents, mais par delà tous les défauts de chacuns (dont les miens ...), nous avons réussi à créer une très bonne ambiance autour des valeurs qui nous rassemblaient et qui sont le partage, l'envie, la joie, l'implication et la motivations dans ce que l'on fait.
j'en suis rssorti bien plus confiant qu'en y rentrant, tant sur la vie, que sur la société car tant que perdurera cette philosophie de la vie, l'espoir d'une société meilleure et plus juste perdurera dans nos coeurs et c'est bien là le plus importatant : tant que nous en aurons envie, ce sera possible...
dimanche 5 juillet 2009
mercredi 24 juin 2009
Je pleure
Souvent, la nuit, quand je ne trouve pas le sommeil, je pleure.
Je pleure sur moi qui ne réussit jamais rien, qui n'a aucun courage, qui subit la vie, laisse se passer les horreurs de la vie sans réagir, qui suis trop passif.
Je pleure sur les uns, qui ont l'âme trop pure pour survivre dans un monde de loups, et qui vivent reclus dans une prison dont ils ont érigé eux même les barreaux.
Je pleure aussi sur les autres, ceux-là sans qui peut être que les uns pourraient mieux vivre, qui n'ont peut être pas conscience du mal qu'ils produisent, des monstruosités qu'ils commettent sans la moindre retenue, et qui au fond sont peut être autant victimes que coupables dans cette société de brutes modernes.
Cette société sur laquelle aussi il m'arrive de pleurer, qui m'inquiète, tous les jours un peu plus, un peu plus inhumaine, à la recherche de l'or, avide de sang, d'exploitation, de bonheur virtuel, éphémère, raffiné, fabriqué, contrefait, et qui continue sa folle course vers la folie grandissante, sans que quiconque ne la méne, sans que quiconque ne fasse geste pour la freiner... (qui ne fait geste consent paraît il.).
Je pleure sur l'homme dont la nature dispârait autant qu'il fait dispâraitre la nature... Le propre de l'homme, c'est peut être non pas la pensée ni l'intelligence, mais il est possible que ce soit, en définitive le fait de ne pas se projeter dans le futur de ses actes, mais se projeter directement les solutions qu'il apportera pour essayer d'effacer les conséquences de ses activités. Il a beau avoir un tour d'avance, la nature le dépassera toujours, mais en aura t il conscience un jour ? Rien n'est moins sur...
En particulier je pleure aussi sur ces innombrables petites miséres qui font notre quotidien, et contre lesquelles la lutte est la plus difficille. Ce sont peut être toutes ces histoires qui ne font pourtant aucun bruit, pas de une des journaux,, dont on entend très peu parler qui me rendent le plus triste. Quelqu'un a dit un jour, on peut changer les lois, la société, le modèle de vie de tout un peuple, mais nous sommes bien impuissants face aux "petits" détails... Et cela est tellement vrai...
Voilà, je pense vous avoir tout dit... Ma crise de larmes passera, comme toujours, et demain est un autre jour... Le sommeil finira bien par venir, enfin je l'espére...
Je pleure sur moi qui ne réussit jamais rien, qui n'a aucun courage, qui subit la vie, laisse se passer les horreurs de la vie sans réagir, qui suis trop passif.
Je pleure sur les uns, qui ont l'âme trop pure pour survivre dans un monde de loups, et qui vivent reclus dans une prison dont ils ont érigé eux même les barreaux.
Je pleure aussi sur les autres, ceux-là sans qui peut être que les uns pourraient mieux vivre, qui n'ont peut être pas conscience du mal qu'ils produisent, des monstruosités qu'ils commettent sans la moindre retenue, et qui au fond sont peut être autant victimes que coupables dans cette société de brutes modernes.
Cette société sur laquelle aussi il m'arrive de pleurer, qui m'inquiète, tous les jours un peu plus, un peu plus inhumaine, à la recherche de l'or, avide de sang, d'exploitation, de bonheur virtuel, éphémère, raffiné, fabriqué, contrefait, et qui continue sa folle course vers la folie grandissante, sans que quiconque ne la méne, sans que quiconque ne fasse geste pour la freiner... (qui ne fait geste consent paraît il.).
Je pleure sur l'homme dont la nature dispârait autant qu'il fait dispâraitre la nature... Le propre de l'homme, c'est peut être non pas la pensée ni l'intelligence, mais il est possible que ce soit, en définitive le fait de ne pas se projeter dans le futur de ses actes, mais se projeter directement les solutions qu'il apportera pour essayer d'effacer les conséquences de ses activités. Il a beau avoir un tour d'avance, la nature le dépassera toujours, mais en aura t il conscience un jour ? Rien n'est moins sur...
En particulier je pleure aussi sur ces innombrables petites miséres qui font notre quotidien, et contre lesquelles la lutte est la plus difficille. Ce sont peut être toutes ces histoires qui ne font pourtant aucun bruit, pas de une des journaux,, dont on entend très peu parler qui me rendent le plus triste. Quelqu'un a dit un jour, on peut changer les lois, la société, le modèle de vie de tout un peuple, mais nous sommes bien impuissants face aux "petits" détails... Et cela est tellement vrai...
Voilà, je pense vous avoir tout dit... Ma crise de larmes passera, comme toujours, et demain est un autre jour... Le sommeil finira bien par venir, enfin je l'espére...
3 petits points
"..." : Ces trois petits points sont bien utiles ...
En effet, ils permettent de façon certaine, sans trop se fatiguer de se mettre en accord avec le lecteur qui, par ces symboles, pourra finir comme il le préfère la phrase de l'auteur.
Mais trois petits points et pourquoi pas quatre, dix ou cent ? La réponse doit probablement venir du rythme ternaire qui, on le sait, représente la perfection (en fait je n'en sais rien mais laissons moi le bénéfice du doute ... ).
Je l'avoue, il m'arrive très régulièrement, par facilité d'utiliser cette formule magique qui me permets bien souvent de ne pas finir ce que j'écris, de ne pas avoir à me torturer l'esprit en cherchant indéfiniment une suite qui ne vient pas, une réponse impossible à trouver.
Trois petits points et c'est fini, deux points et j'explique, point d'exlamation je suis outré, impressionné, magistral, point d'interrogation, que dire ? point virgule je passse.
Un point c'est tout. (et souvent aussi rien du tout....)
En effet, ils permettent de façon certaine, sans trop se fatiguer de se mettre en accord avec le lecteur qui, par ces symboles, pourra finir comme il le préfère la phrase de l'auteur.
Mais trois petits points et pourquoi pas quatre, dix ou cent ? La réponse doit probablement venir du rythme ternaire qui, on le sait, représente la perfection (en fait je n'en sais rien mais laissons moi le bénéfice du doute ... ).
Je l'avoue, il m'arrive très régulièrement, par facilité d'utiliser cette formule magique qui me permets bien souvent de ne pas finir ce que j'écris, de ne pas avoir à me torturer l'esprit en cherchant indéfiniment une suite qui ne vient pas, une réponse impossible à trouver.
Trois petits points et c'est fini, deux points et j'explique, point d'exlamation je suis outré, impressionné, magistral, point d'interrogation, que dire ? point virgule je passse.
Un point c'est tout. (et souvent aussi rien du tout....)
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Impuissants
Nous sommes bien impuissants dans ce monde...
Chacun peut dire ce qu'il veut mais personne ne peut changer réellement les choses. La vie n'est pas ce que l'on en fait, mais plutôt ce qu'on nous fait...
Il est faut de dire que l'on est comme on est fait ou ce que l'on fait... En réalité ce sont les autres personnes de par leurs rumeurs, ragots, gestes, pensées, phrases, comportement qui font ce que l'on est. On ne vit pas en se demandant ce que l'on va faire chaque matin mais on vit en se demandant plutôt comment nous allons réagir face au monde et aux obstacles qui font notre quotidien. La vie est plus une suite d'accidents évitables ou non, graves ou bénins, face auxquels chacun se doit de réagir pour vivre.
ce ne sont pas nos actions qui font notre être mais ce que les autres en jugent, et tant pis pour ceux qui sont seuls, leur vie n'aura aucune incidence et ils ne vivront pas vraiment...
Chacun peut dire ce qu'il veut mais personne ne peut changer réellement les choses. La vie n'est pas ce que l'on en fait, mais plutôt ce qu'on nous fait...
Il est faut de dire que l'on est comme on est fait ou ce que l'on fait... En réalité ce sont les autres personnes de par leurs rumeurs, ragots, gestes, pensées, phrases, comportement qui font ce que l'on est. On ne vit pas en se demandant ce que l'on va faire chaque matin mais on vit en se demandant plutôt comment nous allons réagir face au monde et aux obstacles qui font notre quotidien. La vie est plus une suite d'accidents évitables ou non, graves ou bénins, face auxquels chacun se doit de réagir pour vivre.
ce ne sont pas nos actions qui font notre être mais ce que les autres en jugent, et tant pis pour ceux qui sont seuls, leur vie n'aura aucune incidence et ils ne vivront pas vraiment...
Des questions qu'on ne devrait jamais poser...
Il est des questions dont on ne devrait jamais chercher la réponse ...
Tout d'abord parce que la réponse est parfois aussi dure que l'interrogation maladive que suscite cette question sur soi même. Ensuite parce que la tristesse éprouvée lors de la révélation à laquelle pourtant bien souvent, on s'attendait, est terrible en ce sens où l'on ne peut plus rien changer, ce souvenir restera ancré au fond de notre âme pour longtemps, une vie, un siècle, voire une éternité...
Qui n'a jamais éprouvé cette difficulté d'aimer sans l'être forcément ou du moins en a un doute irrascible pourra rire de cet article... Qui ne s'est jamais posé de question sur le sens de sa vie, de son éventuelle réussite, sa fierté exacerbée ou écrasée que ce soit justifié ou non peut me rire au nez... Pour ma part, je pense que la seule façon que j'ai de chercher à comprendre parfois comment tout marche, comment la vie peut continuer malgré toutes les horreurs passées, les erreurs que l'on n'a pas encore commises mais que l'on commettra quand même, parce que tel est l'être humain constitue en soit une question qui est, je pense et j'espére sans réponse parce que la connaître me rendrait, j'en suis sur encore plus malheureux...
Tout d'abord parce que la réponse est parfois aussi dure que l'interrogation maladive que suscite cette question sur soi même. Ensuite parce que la tristesse éprouvée lors de la révélation à laquelle pourtant bien souvent, on s'attendait, est terrible en ce sens où l'on ne peut plus rien changer, ce souvenir restera ancré au fond de notre âme pour longtemps, une vie, un siècle, voire une éternité...
Qui n'a jamais éprouvé cette difficulté d'aimer sans l'être forcément ou du moins en a un doute irrascible pourra rire de cet article... Qui ne s'est jamais posé de question sur le sens de sa vie, de son éventuelle réussite, sa fierté exacerbée ou écrasée que ce soit justifié ou non peut me rire au nez... Pour ma part, je pense que la seule façon que j'ai de chercher à comprendre parfois comment tout marche, comment la vie peut continuer malgré toutes les horreurs passées, les erreurs que l'on n'a pas encore commises mais que l'on commettra quand même, parce que tel est l'être humain constitue en soit une question qui est, je pense et j'espére sans réponse parce que la connaître me rendrait, j'en suis sur encore plus malheureux...
Enfin, si je peux vous donner un conseil, ne cherchez pas toujours réponse à tout, parfois l' ignorance même subie, vaut bien mieux qu'une vérité invivable...
bienvenue
Si je crée ce blog, ce n'est pas pour vous donner des réponses : je préfère donner des questions...
Si vous voulez un site en total accord avec vos opinions, quittez ce blog...
Si vous souhaitez surfer sans réfléchir, passez votre chemin...
Si vous êtes encore là et que vous lisez ces lignes en souriant, ne restez pas : mon but premier n'est pas de vous amuser...
Maintenant, je peux vous le dire, COGITARE est plutôt un forum où toutes les idées s'entremêlent, où chacun peut puiser un peu de connaissance, de ces connaissances qui ne s'achètent pas... Mon but est de vous faire penser, de vous interroger sur des questions qui font la vie de tous les jours où de celles qui font l'avenir du monde. Je peux aller de l'amour à la guerre dans un même article et si cela vous dérange, je ne peux que vous souhaiter une bonne visite... ailleurs...
Si vous voulez un site en total accord avec vos opinions, quittez ce blog...
Si vous souhaitez surfer sans réfléchir, passez votre chemin...
Si vous êtes encore là et que vous lisez ces lignes en souriant, ne restez pas : mon but premier n'est pas de vous amuser...
Maintenant, je peux vous le dire, COGITARE est plutôt un forum où toutes les idées s'entremêlent, où chacun peut puiser un peu de connaissance, de ces connaissances qui ne s'achètent pas... Mon but est de vous faire penser, de vous interroger sur des questions qui font la vie de tous les jours où de celles qui font l'avenir du monde. Je peux aller de l'amour à la guerre dans un même article et si cela vous dérange, je ne peux que vous souhaiter une bonne visite... ailleurs...
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